QUI A PEUR DE VIRGINIA WOOLF ? 24 février 2016 in Les chroniques de Tata Nicole QUI A PEUR DE VIRGINIA WOOLF ? D’Edward Albee, mise en scène d’Alain Francion C’est Où ? : au Théâtre de L’ OEUVRE, 55, rue de Clichy 75009 Paris C’est quand ? : Jusqu’au 3 avril L’ avis de Tata Nicole Martha, fille du doyen de l’ Université, et son mari George, professeur, invitent à l’issue d’une réception un jeune professeur de biologie et sa femme à boire un dernier verre. La soirée tourne alors au jeu de massacre. George et Martha vont en effet, reprendre devant le jeune couple, un spectacle ou plutôt un combat dont la mise en scène n’appartient qu’à eux. On a, à l’esprit, le film de Mike Nichols dans lequel s’affrontait le couple Taylor- Burton ou plus récemment Niels Arestrup et Myriam Boyer qui s’étaient laissés emporter par la violence de cet affrontement. La version d’Alain Francion est toute différente. En effet, l’hystérie des rapports s’exprime de manière très sèche. Pas de cris, pas de secousses mais plutôt l’accomplissement inexorable d’une mécanique. Allez redécouvrir cette pièce si vous l’avez déjà vue ou découvrir comment Alain Francion fait renaître le texte d’ Edward Albee. Et vous, qu’en avez-vous pensé ? Laissez un commentaire !
QUI A PEUR DE VIRGINIA WOOLF ? D’Edward Albee, mise en scène d’Alain Francion C’est Où ? : au Théâtre de L’ OEUVRE, 55, rue de Clichy 75009 Paris C’est quand ? : Jusqu’au 3 avril L’ avis de Tata Nicole Martha, fille du doyen de l’ Université, et son mari George, professeur, invitent à l’issue d’une réception un jeune professeur de biologie et sa femme à boire un dernier verre. La soirée tourne alors au jeu de massacre. George et Martha vont en effet, reprendre devant le jeune couple, un spectacle ou plutôt un combat dont la mise en scène n’appartient qu’à eux. On a, à l’esprit, le film de Mike Nichols dans lequel s’affrontait le couple Taylor- Burton ou plus récemment Niels Arestrup et Myriam Boyer qui s’étaient laissés emporter par la violence de cet affrontement. La version d’Alain Francion est toute différente. En effet, l’hystérie des rapports s’exprime de manière très sèche. Pas de cris, pas de secousses mais plutôt l’accomplissement inexorable d’une mécanique. Allez redécouvrir cette pièce si vous l’avez déjà vue ou découvrir comment Alain Francion fait renaître le texte d’ Edward Albee.